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DER LETZTE ZUG (Le dernier train)
Titre Original | DER LETZTE ZUG |
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Titre traduit | Le dernier train |
Réalisateur | VILSMAIER Joseph |
Distribution | Concorde Filmverleih |
Production | |
Année | 2006 |
Format | |
Durée | 125' |
Langue | All. |
Musique | |
Distinction | Prix du cinéma Bavarois 2006 |
Interprètes | Gedeon BURKHARD (Henry Neumann), Lale YAVAS (Lea Neumann), Lena BEYERLING (Nina Neumann), Sibel KEKILLI (Ruth Zilbermann), Roman Roth (Albert Rosen), Brigitte GROTHUM (Gabrielle Hellmann), Hans-Jürgen Silbermann (Jakob Noschik), Sharon BRAUNER (Erika Frie |
Résumé | La guerre, 1943. Les nazis veulent un Berlin « purifié de ses juifs ». Près de 70.000 juifs ont déjà été déportés de la capitale du Reich allemand. En avril, les derniers transports doivent partir pour Auschwitz. La Gestapo peut venir de jour comme de nuit, traîner dans la rue les derniers juifs qui restent et les embarquer dans des camions. Pour 688 juifs, la terreur devient soudain une certitude. Qu’ils soient jeunes ou vieux, hommes, femmes, enfants, familles, couples, femmes enceintes, inconnus ou amis, universitaires, artistes ou ouvriers, riches ou pauvres, cela ne joue désormais plus aucun rôle. Ils sont tous conduits à la gare de Grunewald, voie 17, où on les entasse dans des wagons à bestiaux. Le trajet vers une mort assurée dure six jours. Une lutte contre la chaleur insupportable, la soif et la faim commence. Dans leur immense désespoir, certains tentent de s’évader de cette prison infernale sur roues. Il y a parmi eux la famille Neumann, Henry et Lea, avec leurs deux enfants, un couple plus âgé, le chansonnier Jakob Noschik et la pianiste Gabriella Hellmann, le docteur Friedlich, un jeune homme intrépide qui s’appelle Albert Rosen et puis la jeune Ruth Zilberman. Dans ce drame produit par Artur Brauner, le légendaire producteur berlinois, Joseph Vilsmaier et sa femme, Dana Vávrová, présentent avec intensité le martyre de ces 688 juifs. Ce train a réellement existé. Il symbolise le destin des juifs berlinois et européens. Mais le pire, c’est qu’il ne s’agissait en réalité même pas du dernier train. |
Diffusion | |
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Droit | 0 |
Festival | Berlinale 2007 |
Genre | Fiction |
Auteur du Commentaire | |
Commentaire d'Imaj |
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