films

FORGOTTEN TRANSPORTS

Titre Original FORGOTTEN TRANSPORTS
Titre traduit
Réalisateur PRIBYL
Lukas
Distribution
Production
Année 2010
Format
Durée 4X85' 1X90'
Langue Tcheq. st Ang.
Musique
Distinction
Interprètes
Résumé Dans une série de quatre documentaires sur les épreuves peu connues des Juifs tchèques pendant la Seconde Guerre mondiale. Anna Kraus Bauer revient sur son voyage en train vers un camp de travail estonien. "Je me souviens que je regardais la lune en me disant qu'elle brillait ici, et qu'elle brillait aussi à la maison - la même," dit-elle. "Alors peut-être que les choses ne seront pas si mauvaises." Lukas Pribyl, a fait plus que repérer des survivants ou chercher dans des archives cinématographiques et des dossiers de déportation. Pendant 10 ans et des voyages dans 30 pays, il a pourchassé des photographies de commandants de camp SS et des photos prises par des résidents locaux et des travailleurs qui avaient pu rencontrer des détenus, échangeant parfois des bouteilles de vodka contre des artefacts. L'impression véhiculée est qu'un photographe était là pour le cauchemar des Juifs tchèques. Quand Mme Bauer et ses amis qui ont réussi à rester ensemble à travers la guerre parlent d'Aleksander Laak, leur commandant SS menacent de sa baguette, à la fin du film, nous le retrouvons 15 ans plus tard au Canada dodu et entouré de ses enfants. Forgotten Transports: To Latvia (2007) - Forgotten Transports: To Belarus (2008) - Forgotten Transports: To Estonia (2008) - Forgotten Transports: To Poland (2010) In a series of four documentaries about the little-known ordeals of Czech Jews during World War II, for example, Anna Kraus Bauer looks back at her train journey to an Estonian labor camp. “I remember I kept looking at the moon, telling myself it is shining here, and it is shining at home too — the very same one,” she says. “So maybe things won’t be so bad.” But what makes “Forgotten Transports” stand out from the multitude of Holocaust documentaries is that its director, Lukas Pribyl, did more than track down survivors or burrow through film archives and deportation records. Over 10 years and visits to 30 countries, he hunted down photographs of SS camp commanders and snapshots taken by local residents and workers who might have encountered inmates, sometimes trading bottles of vodka for the artifacts. The impression conveyed is that a photographer was along for the nightmare ride of the Czech Jews. When Mrs. Bauer and friends who managed to stay together through the war speak of Aleksander Laak, their SS commander, there he is in his fearsome ramrod authority, and, at the film’s end, there he is 15 years later in Canada, looking plump and content, surrounded by the kinds of relatives he never let his victims keep. To Latvia (2007), To Belarus (2008), To Estonia(2008), To Poland (2010)
Diffusion
Lien film public
Lien VOD membres Login
Droit 0
Festival Haifa IFF 2010
Genre Fiction
Shoah
Auteur du Commentaire
Commentaire d'Imaj

Contactez-nous par mail à info@imaj.be ou par téléphone au 02 344 86 69 pour connaître la disponibilité de ce film.